Bruits de moteur et de bombardement
Le 2 février 1916, à 3h45 le bruit puissant d'un moteur aérien laisse penser au survol des lignes par un dirirgeable venant du sud-ouest et se dirigeant vers le nord-est.
A 11h30 un obus de 150 et des obus de 77 sont reçus : aucun dégât et aucune perte à déplorer.
De 17 h à 17h45 tir de 84 torpilles par le canon de 58. Riposte alleamnde : 150 obus de 77, 20 de 105 et 180 de 150 sur les tranchées et l'ouvrage 7.
Dégâts matériels importants, pas de pertes.
La nuit est calme, les patrouilles de surveillance en avant des lignes ne signalent rien de particulier.
Sur le bord de la voie romaine entre la Bertonnerie et l'Allée verte on voit la fumée s'échapper des mortiers et des lance-grenades lors des tirs.
Le vent est orienté au nord-ouest.